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Music Is My Way Of Thinking // Chieuse geek devotee vaguement cinglée et carrément barrée
Music Is My Way Of Thinking // Chieuse geek devotee vaguement cinglée et carrément barrée
12 juillet 2008

Lectures

Après n'avoir rien dévoilé de mes diverses avancées psychologiques ><, je romps le silence pour un bilan je ne sais quoi.

(au passage veuillez noter que voici encore une image d'Azuzephre aka Jeff Thomas, je suis définitivement accro à Pon and Zi - ce mec dessine exactement ce que j'imagine, en bcp mieux :-) )

Ce qui me fait un bel article pour le Coffre à jouets, en général plein de trucs sombres et autres complaintes imbuvables pour tout lecteur normal (cad le lecteur beta qui cherche à se distraire et/ou à être voyeur de sexe et de quotidien en lisant les blogs). CEPENDANT, car il y a un cependant (même s'il ne va pas durer car après non seulement je vais becqueter mais aussi fermer la porte à Iris, la nouvelle arrivée *qui d'ailleurs a des mimiques qui me rappellent qqn...* et tenter de suivre deux programmes en même temps, en suivant plus Kaamelott quand même, ayant tjs un pb de mémoire) toi lecteur actuel tu as échappé au blog ancestral, composé à 90 % de complaintes et déclarations crues. Eh bien surprise, voilà un post de type complainte (ouais je sais je vous emmerde, cependant personne n'est obligé de lire et vous avez le droit de m'envoyer des mails d'insultes, je suis maso pour rappel,  donc forcément j'adore ça :p) (ça c'était une private joke :p). Enfin bref, si une envie de voyeurisme ne vous traverse pas, vous avez le droit de passer votre chemin. J'ai presque envie d'être crue, je ne suis plus capable d'être aussi crue je crois, même si mon humour noir et grinçant donne parfois dans le cru, mais on va essayer, je pense que c'est nécessaire de se faire un peu saigner, et la haine sortir avec le sang et les larmes, la haine et l'amour cohabitant tjs de manière aussi proche je crois bien et avec la même intensité qu'avant sinon plus.

La relecture de ce blog fut une épreuve, une expérience bcp plus bizarre que ce que j'aurais cru. Je pensais connaître le contenu, les peines, les déchirures derrière et en fait je me suis aperçue que je n'avais rien réglé du passé. A force de l'ignorer afin d'avancer, j'ai construit une façade encore plus efficace que tout le travail de Miss Parker (qui sait quand même à peu près d'où viennent ses soucis), une Alanne, Sydnette, Thomassia et bon nombre de pseudos afin d'éviter de croiser celle que je déteste mortellement, D. Et là je me suis repris tout de plein fouet mais avec mes capacités de réflexion actuelles, cad un peu de recul, un peu de réflexion en cours, quelques idées qui germent depuis quelques mois, ce genre de choses...

J'ai d'abord opté pour le coup d'éclat, les grandes déclarations, du type "foutons tout en l'air". Je n'étais pas loin d'imploser, donc c'était ça ou rien je pense. Et ce genre de coup de tête, de coup de nerfs, aide à faire un peu place nette, à observer ce qui retombe, à réfléchir avec les morceaux qu'on dégage dans notre rage / douleur / amour / haine. Le principal problème étant que forcément on touche des gens extérieurs, qui n'ont rien demandé et qui ont leurs propres démons. Ce type de clash n'est pas idéal mais en un sens, je ne l'ai pas fait exprès, il est sorti tout seul... C'est dire si ça traînait et si cette énergie bouillonnante était renfermée. Sur la longueur, impossible de poursuivre... Fini le blog, plus de découvertes, soit... plus qu'à reprendre la routine... la vie... ou pas. Bref, là on est dans un croisement, dans une hésitation, le dernier week-end m'ayant prouvé que c'est pire que jamais, que je ne sais tjs pas comment avancer, que je ne sais pas ce que je veux et que je crois que ce que je pourrais vouloir >< me terrifie.

Après cette lecture, je suis repartie dans la lecture des blogs extérieurs, chose que je ne fais plus que peu mais que je compte reprendre (et j'ai commencé) afin de renouer contact avec mon passé, mes amis, mes connaissances, repartir sur des bases saines. Repartir sur quoi, ça je ne sais pas, j'ai depuis quelque temps du mal à envisager l'avenir. En construisant, je me suis soudain aperçue que l'avenir je l'avais envisagé d'une certaine manière, qu'il me terrorisait car je voyais son impossibilité de réalisation et donc que j'ai tenté de construire autre chose pour faire semblant. En quatre ans, j'ai tellement bien mené ce trompe-l'oeil que j'ai fini par m'y tromper moi-même, convaincre mon père, une bonne partie de ma famille, une bonne partie de mes amis. Seuls quelques-uns ont continué à me balancer quelques trucs qui auraient dû m'interpeler mais que j'ai écartés, outrée, choquée, non pas parce que je les croyais vrais mais parce que j'avais réussi à me convaincre qu'ils étaient faux.

Et je suis allée de ratage en ratage, ne parvenant pas à comprendre pourquoi je m'engageais dans quelque chose de foireux, dans quelque chose de moins foireux au départ devenu foireux (Georges), devenu atrocement étouffant et que j'ai rendu encore plus étouffant jusqu'à ce que fin s'ensuive, pour mon plus grand soulagement. Soulagement que je me suis expliquée par un "il prenait tout le temps que je réservais à d'autres", en n'allant évidemment pas chercher plus loin. Chercher plus loin revenant à remettre tout en question, ce que je ne faisais plus depuis longtemps. Remettre en question signifie se rendre compte du mur vers lequel on va, de l'absurdité de ce qu'on a imaginé, du fait que la vie future qu'on s'est construit inconsciemment est évidemment impossible et que la ou les personnes qu'on y a associée(s) ont évidemment d'autres plans pour l'avenir, ce qu'on aurait compris plus vite si on se l'était avoué immédiatement mais cet aveu était impossible. Au final, je suis donc dans une perspective alléchante de non avenir, d'avenir professionnel cependant et c'est déjà ça. Chanceuse au travail, malheureuse ailleurs je suppose.

Il y a cependant des avancées, dont la sociabilité. Je suis capable de parler à des inconnus, d'échanger plus de deux phrases avec eux. Je n'ai fait qu'une seule crise de nerfs au travail ><, okay je n'en faisais plus du tout mais vu ce qui se trâmait, ça serait presque positif. Je suis à nouveau en dépression légère mais je le sais, ce qui est plutôt positif puisque j'étais en absence de vie pdt longtemps... Je me suis aperçue que j'avais laissé le cutter là où je l'ai reposé après une crise et n'y avais plus touché depuis un nombre de mois que je qualifierai de conséquent. Okay sur le plan alimentaire ça ne s'arrange pas, j'ai tjs un appétit d'ogresse, tjs autant de complexes, tjs autant de procrastination pour tout. Bref, j'ai effacé des problèmes pour les retransformer ailleurs (j'ai pris 10 kilos en 4 ans, sans vraiment m'en rendre compte, sachant que j'avais déjà pris 10 kilos en 3 ans juste avant). Et en quatre ans, je n'ai pas avancé d'un iota sur la résolution des problèmes majeurs de ce qui n'a pas eu le temps d'être une jeunesse complète. Normal, puisque j'ai passé mon temps à ignorer 80 % des problèmes puisqu'invisibles pour ma conscience et à ignorer les 20 % visibles pour cause de "manque de temps / autre chose à faire / autre chose à penser / non ça n'est pas possible actuellement". Entre la procrastination et l'aveuglement, on peut dire que la Syd a fait fort.

Je suppose que je dois redresser la barre, soit continuer à faire semblant, soit construire un autre semblant, mais j'ai intérêt à trouver vite car en ce moment j'ai tendance à l'ouvrir, à être sincère, à déclarer des trucs ENORMES qui se doivent de rester secrets, bref ça lâche, le miroir se fendille alors que ce miroir de la vie se doit de rester entier, avec Syd en héroÏne de la série qu'elle se construit , surtout sans chercher à inclure Kathy, celle qui pourtant sauva tjs tout... IL faut dire que j'ai tenté je ne sais combien de fois de me réconcilier avec cette connasse sale petite pute désobéissante... avec ce double mais il faut croire que je suis encore plus fâchée avec moi-même que je ne le croyais. Coupable d'inceste, de lèse-majesté, d'atteinte au corps, et les vieux classiques "oubliés" d'homosexualité latente, de meurtre (évidemment, je me sens tjs coupable d'un truc auquel je ne peux rien), de non-dispute-qui-devait-changer-ma-vie-et-que-je-n'ai-pas-eu-les-couilles-de-lancer. Merde c'est pas parce qu'un de nos parents végète dans un fauteuil en état de légume plaintif, geignard et immonde qu'on ne doit pas lui dire ses quatre vérités en face, à savoir qu'elle est une sale petite conne bouffée par la dépression - au point de vouloir que les autres passent leur temps à la plaindre et à téléphoner à tout le monde en ce sens, ce qui te fiche la honte un max, à toi qui essaie d'avoir une vie normale en apparence... la cacher quand une copine vient à la maison, ce qui certes est arrivé une seule fois looool... -, la maladie mentale et son éducation de merde *malgré tout l'amour que je porte à mes grds-parents avec qui je n'ai pas eu l'occasion de me friter autour des mêmes sujets vu qu'ils sont morts avant qu'il ne constituent un pb pour moi*. Ou alors si peut-être c'était une bonne idée de pas le faire, d'avoir pitié, de fermer sa gueule car effectivement c'était pas le moment (il n'y aurait pas eu de bon moment alors durant toutes ces années...) et de juste être un peu sadique pour compenser (oui en moi se cache une sadique en puissance, vous êtes prévenus) (mais avec un super bon fond paraît-il ><, ce qui est un peu problématique). Résultat des courses : ce qui posait pb a été peu à peu enfoui pour cause de (suivant les années) :

- maladie qui est censée être le centre de la famille, donc de la ville, donc du monde et exit mes pb de sale petite égoïste qui s'enferme dans sa chambre (au passage, ça m'a évité de me pendre ou d'avaler les tonnes de médicaments, ceux-là même qui traînent tjs à la cave et que je vais reluquer régulièrement de manière à me dire limite à haute voix les jours om je déconne sévère "oui je pourrais le faire, je pourrais avaler tout ça et crever mais noooon je ne le fais pas, car j'aime, même si je suis malsaine j'aime et au nom de ça, de la confiance qu'on me porte, de l'amitié qu'on me porte, je ne le ferai pas") (au passage je me dis de temps en temps que c'est vaguement malsain ET que je devrais pê tout jeter ET que si ça tombe comme c'est passé la date même si je les avalais tous je mourrais même pas donc que ça sert super à rien de garder ça). A la même époque on m'a sorti pas mal de trucs que je n'ai tjs pas avalés... Déjà on m'a prise pour celle que je n'étais pas... A l'école on me prenait pour une demeurée capable seulement d'avoir des bonnes notes. Avoir de moins bonnes notes n'y a rien changé et je regrette un peu d'avoir sacrifié mes capacités de travail afin d'essayer de m'intégrer. J'ai reparlé avec un mec du collège récemment qui se demandait s'il avait bien affaire à la même fille... Oui, oui, mais un peu plus extravertie hein ><. Ensuite on m'a traitée d'égoïste, de personne incapable d'aimer, de fille qui s'en fout de tout. Ca j'ai tjs pas avalé, j'avalerai jamais. S'il y a un truc qui me caractérise et j'en suis bien consciente, c'est ma capacité à me dévouer jusque l'absurde et la mort si besoin est. J'aime avec infinité et même mes ennemis j'ai eu bcp de mal à les détester ><. Ca se rapproche de la plus profonde connerie. DONC qu'On, cad ma connasse de mère incapable de m'élever autrement qu'en m'étouffant, s'imagine que je ne l'aime pas, ça me TROUE. Putain de bordel de merde, avoir tant de haine n'est-ce pas aimer le plus profondément qui soit ? Evidemment il lui paraissait difficile de comprendre pourquoi je m'embrassais pas un corps puant et débectant (elle a quand même obtenu en secret par le frangin et moi-même le surnom de GTP aka Gros Tas Puant) (sur la fin, quand vraiment c'était INSUPPORTABLE et que si je n'avais pas eu Internet, le forum, Nathalie et mes amis les plus proches que j'aime donc avec infinité aussi ><, je me serais supprimée sans même réfléchir). Noooon ça ne pouvait pas lui venir à l'esprit que pour moi ce GTP n'était PAS ma mère mais une caricature d'elle-même, qu'elle allait de plus en plus vers la caricature et que soit je me sauvais soit je devenais complètement CINGLEE. On m'a vaguement fait comprendre aussi (des profs, mes parents) que si j'étais le bouc émissaire, je l'avais cherché. Avec les années, je cherche encore ce que j'ai fait de travers. Ce que j'ai fini par trouver est que... J'avais un caractère d'extra-terrestre à l'époque, dû à la sur-protection maternelle donc à cette connasse qui m'a balancé ensuite que c'était ma faute si certains trouvaient malin de me faire tomber pour me fracasser le crâne. Si c'était à refaire, j'enverrais chier la mère et les autres et je deviendrais une sale rebelle comme bcp au collège. Si ça tombe, je serais devenue une sale conne comme eux, aurais adopté leurs codes et un boulot de teigne et des amis de merde. Et du coup en fait me dis qu'heureusement que j'ai été comme ça, ça m'aura au moins évité ça. Même si je me retrouve ET, à moitié Tom Meighan, à moitié schizo lol, complètement dépressive et paumée. M'enfin au moins je ne suis pas une sale conne imbue d'elle-même. Merci maman. Maman, maman, maman <-- nan je m'entraîne car comme je déteste le mot, l'idée de maternité (je ne veux pas d'alien dans mon ventre, merci) (si un jour j'ai une copine, et qu'elle veut un alien, elle le porte :p) (ou on adopte :p)

- aggravation de la situation avec genre des pensées coupables du style "bon là si elle crevait ça m'arrangerait, parce que ça devient difficile à vivre quand même" et au final tjs la pensée qque part "nan mais c'est quand même pas moi qui l'a fait crever, hein ??" (c'est idiot mais bon).

- deuil soit mon père "maintenant on va parler". Cad lui il cause et moi j'encaisse. LOL. Surtout garder le sourire, surtout ne pas flancher, même s'il a les larmes aux yeux, SURTOUT s'il a les larmes aux yeux. Rester neutre, un masque, en cire, de marbre comme celui qu'on ne doit pas lui imposer en avalant aussi des putain de médocs à destination de non-retour.

- flipper sa race mortellement et plus encore sans bien tout analyser quand qqn d'autre a la même idée que vous, vous la pique sans le savoir et qu'on se rend alors compte que oui, il faut tenir, rien que pour elle, c'est suffisant comme idée et c'est tjs mieux que "tenir pour sa famille", idée qui s'effrite tjs au bout d'un moment, aussi proche soit-on de sa famille. S'ensuit alors la logique du "tant qu'elle tient je tiens". Ca marche sur la longueur, croyez-moi, ça marche encore. Tout oublier, tout foutre de côté pour être alors aussi fréquentable que possible pour tout le monde, car on est bien obligé face au monde, face à la douleur des gens, face à tout. Car se laisser aller dans la douleur n'est pas une solution et qu'on le sait pour avoir expérimenté, pour être tombée en dépression, pour avoir constaté que personne ne peut nous comprendre car surtout pas nous-même... Soit dit en passant, je n'ai pas trouvé de solution à cette douleur, je serais tentée de penser qu'il n'y en a pas et qu'à part un psychiatre, une camisole et/ou des médocs, plus grd-monde ne peut grd-chose pour moi. Sauf si par miracle, j'arrive à construire au lieu de détruire mais que je m'y prends mieux... Sauf que tout mettre à plat est impossible et que j'ai PEUR de ce que j'ai compris récemment, PEUR de ce que ça signifie, PEUR du non-futur, PEUR, ABSOLUTE ANGST, FULL FEAR. Et d'autant plus peur en décryptant tout peu à peu, les messages, les écrits, les histoires, les posts, touuut. En me disant que je suis quand même vraiment, vraiment malsaine.

Je suis devenue plus experte que ce que je croyais dans le domaine de la non-communication. Parallèlement et c'est là que c'est rigolo, la communication est justement une des branches les plus importantes de mon métier. Oh oh oh, on se marre trop ici je sais. J'aurais presque eu tendance à reprocher la non-communication quand je me suis aperçue que je maîtrisais l'art au point de ne pas m'en être rendue compte, de ne quasiment plus communiquer avec moi-même et de ne plus communiquer quasiment avec mon double, Kathy. Détester un personnage qu'on s'est créé est quand même un sacré paradoxe. Maintenant que j'ai trouvé pourquoi, je me demande si je ne dois pas faire le test ultime, celui qui me fait peur au dernier degré mais qui résolvait tout avant : le test virtuel. Au collège et un peu au lycée, quand j'avais un problème ou que je n'arrivais pas à m'avouer quelque chose, je l'introduisais peu à peu dans mes Histoires et quand j'avais bien testé, je me rendais compte si je m'étais trompée ou si le problème était plus étendu que je ne le pensais. Kathy est quand même née sans mère (beeeen tiens)(sa mère a disparu et on ne sait si elle est morte), avec un père qui s'est occupé d'elle sans qu'elle sache que c'était lui (c'est affolant comme les // vont loin, c''est exactement mon cas, alors que je l'ai INVENTE), aucune relation masculine stable, amoureuse en secret avec non-réciprocité (avant il y en avait, mais depuis j'ai compris que c'était impossible, si j'établis un // complet, forcément ça n'est pas réciproque mais je crois que je vais devoir transformer bien plus...), rien de stable malgré des constructions réussies, affectivement et professionnellement. Cette sale petite pute fille imaginaire me ressemble donc trop à mon goût, nous sommes donc fâchées. D'autant plus qu'elle est jolie. Et qu'elle réussit vraiment. Que moi je patauge lamentablement et ajoute à mon palmarès... toucher les gens que j'aime qui n'ont rien demandé, ce qui est tout de même la dernière chose que je voulais.

Et à présent... j'ai adopté la stratégie du... wait and see... l'autruchon gris (comme dirait mon père lol), la bestiole sans âme, le je ne sais pas quoi... Surtout ne rien dire, surtout ne rien montrer, surtout ne rien bouger, surtout ne rien faire tant que l'extérieur ne mouve pas. Et s'il ne mouve pas, on ne mouve pas. Et ce jeu-là peut durer longtemps mais c'est tellement plus rassurant que l'idée qu'on pourrait vraiment tout foutre en l'ai et perdre ses seules raisons de vivre. Que ça n'est pas viable en dehors. Et alors constater que justement on ne s'était pas rendu compte de l'importance qu'on accordait, qu'on croyait savoir mais qu'on ne savait pas, à quel point c'est VITAL, à quel point il est impensable qu'il y ait autre chose que ça. Et se dire soudain qu'on est piégée. Face à un mur. Dans une impasse. Dans une situation ou on ne peut plus reculer mais où il est trop dangereux d'avancer.

En écoute : les ronronnements d'Iris et ses petits cris pour que je m'occupe d'elle (elle a bcp dormi et a été super choute alors bon ^^)
En pensée : oh oh j'ai raté la moitié de Kaamelott et je n'ai tjs pas mangé.

[edit] J'avais oublié le contenu du livre V, ouch. Plus beau c'est difficile. C'est là qu'on voit qu'Astier guérit avec Kaamelott une dépression violente ahem.

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